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Vu les dégâts, nous adressons, le 12 décembre 2017, une LRAR au constructeur afin de lui demander ce qu’il compte faire. Surtout que l’étude de sol préconise : un sol sec afin de ne pas altérer les fondations et un drain que le constructeur n ‘a jamais évoqué.
Le mercredi 13 décembre 2017 au matin, nous nous rendons sur le terrain. C’est une piscine que nous découvrons et non des fondations. Aucun drainage n’a été mis en place et l’étude de sol n’a pas été respectée. Le chantier semble à l’abandon.
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Ce même jour dans l’après midi, nous recevons un message téléphonique de notre conducteur de travaux qui nous dit « qu’il n’y a rien d’anormal pour les fondations ». Ah oui ? Nous n’avons pas la même définition de ce terme. Nous attendons qu’il nous rappelle et la réponse à notre LRAR.
Le samedi 16 décembre 2017, une nouvelle visite sur le terrain s’impose. Ça se gâte ! Le volume d’eau a augmenté. Les fondations ne sont même plus visibles. Comment notre conducteur de travaux peut-il nous dire «qu’il n’y rien d’anormal » !
De plus, cela fait une semaine que le chantier est arrêté. Pas de nouvelles du constructeur à part la réception de la Dommage Ouvrage et de la garantie de livraison accompagnées du premier appel de fond pour…… « fondations achevées ».
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Annonces
Madame, Monsieur,
Nous rencontrons actuellement exactement la situation que vous avez rencontrée avec les fondations inondées.
Pouvez-vous nous indiquer comment la situation a été réglée.
En vous remerciant d’avance.
Bien Cordialement